Analogues chez diabétiques type 2 et impact sur l’équilibre glycémique: étude 40 cas - 25/08/18
Riassunto |
Introduction |
En Tunisie, près de 10 % seulement des personnes diabétiques pratiquent l’auto-injection d’insulines analogues. C’est 1 adulte tunisien sur 11 qui est atteint directement par le diabète.
Patients et méthodes |
Étude prospective portant sur 56 cas des patients diabétiques type 2 colligés au service d’endocrinologie CHU Hédi Chaker Sfax Tunisie.
Résultats |
La plupart des patients hospitalisés (75%) avaient un âge compris entre 40–66 ans. Avec prédominance masculine (sex-ratio H/F 2). La majorité 65% de nos patients diabétiques avaient un diabète évoluant depuis plus de 14 ans. Seulement 25% des patients utilisent les analogues régulièrement et journalier, par contre 65% trouvent des difficultés d’injection d’insuline analogues soit 25% oubli, 35% manque de moyens d’acheter les aiguilles spéciales des stylos, et les autres par le refus de la prise en charge par la Caisse nationale d’assurance-maladie (CNAM). Le schéma d’insulinothérapie le plus utilisé est celui à deux injections (60%). Les patients s’auto-injectaient l’insuline analogue dans 65% des cas. Seulement 10% des cas respectent les normes de stockages. Par contre, 75% ne se désinfectent ni les mains ni le site d’injection. Le site préféré était le bras du membre dominant dans 75% des cas. Seulement 50% introduisent l’aiguille sans pli de peau à 90° et injectent la dose d’insuline en poussant sur le piston sans forcer.
Conclusions |
Une maîtrise des techniques d’injections d’insuline a une importance primordiale pour atteindre un bon équilibre du diabète; d’où le rôle de l’infirmier en matière d’éducation diabétique et thérapeutique.
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Vol 79 - N° 4
P. 497 - Settembre 2018 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.